Un amplificateur qui fonctionne en Classe A met en œuvre des transistors ou tubes polarisés par un courant de forte intensité, mais génère un rendement faible. Cela induit une puissance relativement modérée, une sollicitation importante en courant, et un échauffement des composants électroniques. Sur le plan musical, un gain réel est observé sur les transitoires et les très faibles signaux, qui se traduit par une très grande finesse d’écoute.