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Toujours soucieux d’offrir le meilleur de la musique au sens large, et dans la continuité des rééditions d’œuvres Classiques de « qualité artistique » précédentes, ESOTERIC nous propose cette année de nouveaux CD – SACD d’exception. L’exception se situe à deux niveaux : la prise de son – mixage, et le plan artistique. Anton BRUCKNER : symphonie N° 7 Enregistré le 19 Octobre 1970 et les 3, 4 Février 1971 à Jésus Kirche, Berlin. Cette symphonie est dirigée d’une main de maître par Herbert von Karajan. Sous l’impulsion de Herbert von Karajan, l’Orchestre Philarmonique de Berlin donne toute l’ampleur nécessaire à une interprétation de qualité, sous sa baguette, la partition (et donc de la pensée) de Bruckner nous apparaît d’une limpidité éclatante. Il nous donne une fois de plus une démonstration de force sachant allier démesure sonore et variété des couleurs de l’orchestre, le tout dans une fluidité qui convient à merveille au génie de Bruckner. Wolfgang Amadeus MOZART : symphonie N° 35, N° 40, N° 41 : Symphonie N°35 : En juillet 1782, Mozart, résidant à Vienne, venait de célébrer son mariage avec Constance Weber, contre l’avis de son père qui n’appréciait pas la jeune femme. Il reçut alors une commande de la part de Sigmund Haffner, maire de Salzbourg, qui venait d’être anobli et désirait une sérénade pour célébrer l’évènement. Mais, alors que le compositeur avait presque achevé son travail, Haffner annula probablement sa commande et la partition tomba dans l’oubli. En décembre 1782, Mozart reprit sa partition pour l’un de ses concerts à venir. Il la modifia légèrement en fonction de sa nouvelle destination : la Symphonie no 35 en ré majeur « Haffner » était née. Symphonie N°40 : Mozart y développe un sentiment tragique et angoissé. Probablement, la perte d’une fille en bas âge et l’impopularité dont souffrait le compositeur l’ont-elles poussé à exprimer sa douleur dans sa symphonie. Elle est aujourd’hui immensément populaire, de loin la plus jouée du compositeur, et même l’une des œuvres de musique classique les plus jouées aujourd’hui ; la véhémence géniale de son artisanat furieux plaît énormément de nos jours, alors qu’il y a un siècle, on la considérait comme une charmante œuvre galante. Symphonie N°41 : l’altière noblesse du caractère de la « Jupiter » célèbre la victoire de la lumière sur les ténèbres. Après le mi bémol de la méditation (N°39) et le sol mineur de l’angoisse (N°40), vient l’ut majeur du triomphe. Les trois dernières symphonies mozartiennes ont été écrites en moins de deux mois, à une époque de gêne financière pour un musicien en quête de succès. Nous les retrouvons ici intactes dans l’esprit, grâce à Rafael Kubelik dirigeant l’Orchestre des Bayerischen Rundfunks. Les prises de son ont été effectuées en Juin 1980 (N°35 et N°41) et Septembre 1980 (N°40) à Herculessaal, Munich. A découvrir sans plus attendre. A noter enfin, que vous pourrez découvrir l’intégralité du catalogue ESOTERIC sur le nouveau site du distributeur français – L.S. – Coordonnées de l’importateur : Site du constructeur : |
Mars 2012